• Je me penche sur toi, jeune femme d’aujourd’hui, toi qui fut éduquée par des mères de ma génération, qui t’ont laissé croire à l’égalité des sexes, à la propension dont tu bénéficiais de te faire une place à l’égale des hommes …

     

    ÊTRE FEMME AUJOURD’HUI …Et même si tout au long de ton existence nous te t’avons pas caché que le combat serait toujours d’actualité, que rien n’était jamais éternellement acquis, que seul l’effort fait les forts, que ta place il te faut la gagner … J’avoue qu’il est plus dur aujourd’hui qu’hier ce combat à mener .

     La société redevient virile, les hommes s’entendent pour garder la main mise, ils déplorent que ton ventre soit à la fois si attirant au point de se l’approprier contre ton gré, et parfois si lourd quand tes maternités nuisent à leur société, ils semblent pour certains ( pas tous, fort heureusement) qu’une fois mère tu aurais à choisir entre carrière et sentiment, ils prétendent que tu as changé, que tu dois t’adapter …

     

    C’est pourtant ce que tu fais, tu cours d’une tâche à une autre, tentant l’impossible pour rester la femme que tu étais en devenant celle qu’ils veulent que tu sois, disponible à souhait, soumise et voilée pour ne pas leur faire ombre de ta lumière …

    Je veux bien la crise et ses exigences, je veux bien entendre tous les problèmes du monde, mais de grâce laissez à la femme d’aujourd’hui les droits humains qu’elle réclame car c’est ensemble que nous referons le monde …

    Ne négligeons pas l’essentiel en refusant à la société une part de féminité, car si toutes les femmes devenaient par comportement des hommes, je gage que le pire soit à venir … 

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  • Une journée à moi, une journée pour moi, à faire ce qui me plaît, une trêve en quelque sorte …

    C’est au jardin que je la passerai, 

     LA TRÊVE .

    à décrocher de leurs branches les haricots qui y pendouillent, à 

    déterrer les betteraves rouges qui se sont gonflées aux pluies un peu trop abondantes, à couper les salades en tous genres qui pour n’avoir pas été 

    mangées sont montées en graines …

    J’ai tant de choses à dire, j’ai tant de choses à faire que mêmes les trêves se passent sous le couvert de choses 


    Je voudrais posséder mille vies faites de trêves et faire d’amour tout ce que j’aime faire …de choses 
    dites, de choses faites …

    Alors, j’y vais !  

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  • Au fond, l’être humain n’est pas si exigeant que cela, il lui suffit souvent d’un peu d’espoir, une porte ouverte, une fenêtre sur des possibilités et son énergie à entreprendre lui revient !

    C’était hier la journée de la saint Corneille et bien qu’elle ait commencé dans la grisaille

    L’ESPOIR … des bourses qui chutent, de la Grèce où la faillite menace, d’éléments personnels qui font douter de soi, elle s’est éclairée à la pleine lune d’une lueur teintée d’espoirs …

    L’Allemagne ouvre la tenture qui obstruait la fenêtre au soleil grec, redonnant de la vivacité aux bourses qui doutent d’un avenir meilleur, les partis flamands en concertations proposent des allègements substantiels aux partis francophones qui permettent un accord et des nouvelles optimistes et personnelles ont bercé ma nuit …

    Rien pourtant n’est gagné, le combat continue, et partout dans le monde des efforts sont à produire, mais qu’il est bon pardi de pouvoir rêver encore à un monde meilleur, de se trousser les manches et d’avancer …

    L’Espoir nous fait vivre !

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  • « C’est aujourd’hui la réunion de la dernière chance » annonce-t-il !

    ELIO, LE DERNIER DES BRAVES …

    « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves » nous disait Jules César … un de ces autres italiens qui aimaient notre région au point de s’y investir …

    Mais voilà que les Belges de souche quittent le navire quand la mer gronde, qu’ils pensent déjà à se reconvertir dans du concret solide quand l’eau s’infiltre dans les fissures qu’ils ont eux-mêmes provoqué, que leur sort a encore de l’avenir tandis que la « pauvre » Belgique s’engouffre aux tornades pas si fulgurantes que cela …


    N’est-il pas temps de penser au plan B ?

    N’est-il pas temps de parler de rupture ?

    Tous les efforts francophones n’auront servi à rien, tant de temps passé à tenter l’impossible, tant d’espoirs déçus …

    L’avenir du pays est en jeu, le Roi rentre au pays dare-dare, Elio tente cet après-midi une réunion de la dernière chance … Le dernier des braves, le dernier Homme de l’Etat Belgique aura donné le maximum …

    Merci Elio !

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  • C’est la semaine de tous les dangers, c’est la semaine de tous les espoirs …

    Nos édiles politiques sont réunis (enfin) et décident du sort de notre pays, en secret, 

    CHAQUE BELGE RETIENT SON SOUFFLE …à l’abri de tous regards, de toutes oreilles indiscrètes, pour tenter d’aboutir à concilier l’inconciliable …

    Si nous n’étions en crise financière mondiale, si la tendance n’était à l’universalité du monde, il serait possible que le nationalisme l’emporte en dépit du progrès, protégeant chacun sa formation, son essor, sa culture . Mais nous sommes en crise, et la nature veut que pour y remédier nous nous joignions les uns aux autres pour être plus forts, plus crédibles au regard du monde dont nous dépendons par nos échanges …

    Il leur faut du courage à ces politiques élus, pour ne pas décevoir leurs électeurs, tout en sachant qu’il faudra laisser du mouvement à la laisse qui conduit le chariot des normes à établir .

    Chacun a ses raisons, ses convictions, ses rêves d’avenir, chacun connaît les souhaits des autres, chacun a son amour-propre à défendre et chacun s’est engagé autour 

    d’une note réformatrice, à discuter d’éventuels amendements susceptibles de remodeler l’avenir constitutionnel de notre pays, dans le souci de ce que chacun est !

    Réussiront-ils ?

    Je nous le souhaite pour éviter à la Flandre une descente aux enfers, pour protéger la Wallonie, pour faire naître Bruxelles, pour que la Belgique reste !

    Et pendant qu’ils décident de mon avenir, je vais à la mer démonter les vestiges d’un été pourri qu’il m’a été bon de vivre … La caravane doit quitter la plage, se mettre à l’abri des vents qui soufflent

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