• Cette loi est-elle populiste, qui voudrait que nos jeunes deviennent plus vertueux que ne le sont leurs aînés ?EN DEPIS DU BON SENS …

    Mes petits enfants, dès 14 ans, il vous faudra payer amendes pour insultes et incivilités sur la voie publique  

    Cest tout ce quils ont trouvé pour contenir leffroyable mal être que vous semblez diffuser quand vous narguez les bons citoyens que nous sommes devenus avec lâge adulte  

    Cest ce me semble, oublier quune jeunesse se construit pas à pas, aidée en cela par la conduite des grands sachant vous influencer à devenir grand, aimant et respectueux dune société large qui inclus tous les âges  

    Il nest plus à prouver quhormis dêtre des sujets sachant consommer, vous nintéressez plus personne, vos parents souvent dépassés vous délaissent pour pouvoir assumer le prix de la vie quils vous ont donné, les écoles qui se targuent dêtre les meilleures, préfèrent souvent inscrire sur leurs bancs les meilleurs éléments, dédaignant le menu fretin de la masse dont vous êtes Que le politique ne parvient pas à vous occuper en loisirs ou travail, soucieuse quil est de se soumettre aux diktats de la haute finance qui  loblige par intérêt de la dette ; que la société a perdu le sens des valeurs celles des hommes qui un jour naissent à la vie, sélaborent, et ensemble décident des codes quils auront à suivre pour vivre dignement en société  

    Moi, l’adulte qui déplore cette loi, je me souviens de mes 14 ans, et je sais que ce sont toutes les incivilités commises à cet âge qui m’ont aidé à grandir dans le respect d’une société qui a su m’investir en son rang …  

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  • Tu pointes ton nez comme un message envoyé au bonheur, SUS, EN AVANT, AVANTI LA VIE !

    Tu nous chantes la vie bleue par delà la grisaille,

    Tu effaces les différences,

    Tu engendres lespoir !

    Ta maman a survolé les frontières, venant dun autre continent, elle est venue combler le cœur et la vie de ton papa Nous communiquant par-là même, ses us et coutumes qui rejoignent les nôtres, car aimer partout se conjugue de la même manière  

    Depuis que je te sais, je vis des battements de ton cœur, je grandis avec toi, jévolue dans ton monde, je te devine, je dessine tes doigts caressant la trame de ta vie, jimagine  

    Ton papa te serrant dans ses bras, Lui, le grand compositeur dimaginaire saura  créer lespace de tes rêves, tu verras  SUS, EN AVANT, AVANTI LA VIE ! 

    Comme une étincelle, tu brilles au firmament de nos cœurs,

    Comme un papillon, qui se transforme en son cocon, tu surfes aux vagues de nos vies,

    Comme un soleil, tu irradies de tes rayons puissants notre horizon  

    Comme une fleur, tu viens épanouir le décor de notre avenir qui avec toi sécrit !

    Tu seras ma « Rose » avant que dêtre éclose  

    Je t’aime déjà ! 

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  • Dans les années 50, ma région industrielle voyant débouler une main LE METEQUE dœuvre étrangère, aux mœurs différentes des nôtres, utilisait le « mot » en tant quinsulte  

    Quand quelques années plus tard, Georges avec sa gueule de métèque, de juif errant nous chantait dune voix douce la beauté de lhédonisme, jai pris la liberté daimer, de jouir, dapprécier la simplicité de la vie  

    Il nétait pas le seul à lépoque à nous chanter de tels refrains, mais il émanait de lui un petit rien dimportance qui touchait le cœur de la jeune ado que jétais  

    Moins que dautres, il me faut lavouer, il trônait aux palmarès de mes idoles idéologiques, mais autant queux il a marqué ma vie, sa voix minterpellait chaque fois que la radio le mettait à lhonneur, jécoutais pesant chaque mot, mémorisant la complainte  

    Comme tous ces autres il est parti, au joli mois de mai chantant les eaux de mars, la solitude me gagne  

    Nous reste son message, « Passe, passe le temps il ny en a plus pour très longtemps  » rêvons à « une vie que lon prend par la taille, sans avoir à la gagner comme une bataille », « je dis que la souffrance est chose sacrilège, quand il y a pour tous des roses et du pain blanc »  

    Depuis toi, le « métèque » est devenu un mot qui porte le rêve …

    LE METEQUE

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  • Ma nature cest dêtre nature, quand je vais bien je me plonge en son sein, et je mémerveille de sa beauté, de sa force, de sa liberté LA NATURE ET MOI ... 

    De la fourmi qui triture le sol élevant pucerons pour assouvir la faim dune société laborieuse et qui sans fin œuvre aux besoins de chacune,  à ces nuages blancs ou gris qui passent au ciel dazur et memmènent avec eux aux rivages inconnus de mon imaginaire  

    Quand je vais mal, cest la nature qui mouvre la porte de sortie plongeant ma force, ma volonté dans les innombrables possibilités quelle moffre, je coupe, je tranche, je me démène corps et âme en son cœur, je laboure le mal pour faire naître le bien aux confins de mon épuisement  

    Ce qui ne me tue pas me rend fort disait Nietzsche !LA NATURE ET MOI ...

    A chaque fois, la nature et moi allons de concert au bal de la vie, shabillant de lumière ou de deuil, nous nous épaulons, comme un couple dansant bercé par les notes de musique qui sonnent justes dans la mélodie du temps de ma vie !

    Comme la vie est BELLE ! 

    LA NATURE ET MOI ...

     

    LA NATURE ET MOI ...

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  • Tant que javais à faire, je faisais

    Tant que javais à penser, je pensais

    Viens le temps dévasion, je voudrais mévader LA MER ME MANQUE … 

    Aller pieds nus ou bottés

    Fouler le sable sec ou mouillé

    Tremper une partie de moi

    Aux flots qui soffrent à moi,

    Eaux bleues ou grises ou vertes

    Moussantes ou coulantes LA MER ME MANQUE … 

    Sentir la mer menvahir,

    La redécouvrir  

    Sur le fil du repos mérité

    Mes livres jouvrirais

    Là-bas, sur létagère

    Ils sont nombreux peuchère  

    Mi-juin peut-être ?

    Me restent les rêves …

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