Loin de moi, l'idée de prétendre que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, force est de constater qu'à l'intérieur de nous autant qu'à l'extérieur, l'orage gronde parfois . La maladie, la vieillesse, le mal être, l'incompréhension, la mélancolie, le spleen, la mort !
Les guerres, les conflits, l'insécurité, les cataclysmes, les séismes, les inégalités, la mort !
Tout cela fait bel et bien partie de la vie; avec tout cela nous avons tous à composer. Il est évident que face à ces troubles nous avons le droit de souffrir sans honte, de crier sa colère, de pleurer sur nos maux, cela nous aide dans la construction de soi ... Ce qui est important, c'est qu'après avoir bu jusqu'à la lie le breuvage de la misère, on décide de tourner la page, soit on fuit, soit on s'attaque à résoudre suivant ses possibilités les problèmes, mais toujours se souvenir qu'indépendamment du reste notre vie est à construire, par nous, pour nous, et qu'elle sera ce que nous en ferons !