Cette semaine, la pensée à méditer par les optimistes de Belgique et d'ailleurs ... Est sortie du livre (Les 7 plumes de l'aigle ) de Henri Cougaud : « Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles qu'on ose pas les faire, c'est parce qu'on ose pas les faire qu 'elles sont difficiles . » . L'audace d'entreprendre, même si les paramètres semblent compliqués à atteindre, que la conjoncture ne s'y prête guère, est une solution moins ardue qu'il n'y paraît . Dès le moment où l'on rentre en action, on est porté par l'enthousiasme du projet quel qu'il soit, tout se met en place presque de façon automatique pour sa réalisation, n'ayant en vue que son aboutissement, les idées fusent, bonnes ou mauvaises, on essaye, on hésite, on cogite, on bouge, en deux mots : ON VIT ! Que cela semble facile ... Par contre, si je me dis que trop de difficultés seront rencontrées lors de l 'élaboration de cette idée qui perce en moi, comme une perle rare, que je tâtonne, hésite et cogite, en ne bougeant pas, les regrets, les remords envahiront mon espace psychique tant et si bien que mes tourments seront légions à m'empoisonner l'existence ! Que de vaines terreurs, ces irrésolutions ... Il est donc vrai, me semble-t-il, de prétendre qu'oser OSER soit une bonne initiative et que même si on échoue, il y a plus grave que de n'avoir pas réussi, c'est de n'avoir pas essayé ( Franklin Roosevelt)
Le problème, c'est que tout le monde est d'accord avec ces belles idées mais que bien peu sont capables de les mettre en pratique. Que de frilosité, de tiédeur, de manque de ressort, de mollesse ! Serait-ce l'air (l'ère ?) du temps qui veut cela ?
Bisous Marie-Claude.
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