• SOUS LE SOLEIL !

     

    Après tous ces jours où vents et pluies nous tenaient  à couvert, au sein du cocon bien douillet qu'on avait peine à quitter, voilà que le matin nouveau avait emporté au loin ces frasques, donnant du bleu au ciel, et du soleil engageant  ...

    j'allais donc voir l'Océan !

    SOUS LE SOLEIL !

    SOUS LE SOLEIL !

    SOUS LE SOLEIL !

    SOUS LE SOLEIL !

    SOUS LE SOLEIL !

    SOUS LE SOLEIL !

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  • C'est toujours émouvant d'étrenner le premier jour d'une année qui s'en vient, le passé s'en est allé rejoindre le tiroir des souvenirs,  bien rempli déjà de tous ceux que l'âge vieillissant nous a permis de vivre.

    C'est le début d'une année à créer, que sera t-elle ?

    Nous savons qu'elle aura quatre saisons, des jours heureux et d'autres moins, des soucis et des réjouissances, qu'importe ...

    En ce premier jour de l'an, c'est le sourire qui prévaut 

    Avec les voisins de Francy, nous avons partagé nos émois

    L'année a bien commencé !

    tous mes voeux vous accompagnent pour que le bonheur irradie vos coeurs 

    LE PREMIER JOUR DE L'AN !

    LE PREMIER JOUR DE L'AN !

    LE PREMIER JOUR DE L'AN !

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  • Le PORTRAIT de MARIAGE par Maggie O'FARRELL paru chez BELFOND

     

    J'ai quinze ans, je m'appelle Lucrèce, je suis la troisième fille du Grand Duc de Toscane, Cosme 1er et de Léonore, son épouse . On me marie au Duc de  Ferrare, Alfonso II d'Este.

    Nous sommes en 1558, je suis femme, a t-on le choix en ce temps là de contrarier les alliances prévues par les grandes familles ?

    C'est une "romance" bien sûr, se rapportant à l'Histoire, gardant néanmoins en mémoire les "rumeurs" disant alors que faute de n'avoir pas pu donner d'héritier au Duc, celui-ci me tua moins d'un an après avoir convolé 

    Je suis morte à seize ans ...

    J'étais un enfant dite  sauvage, espiègle, nature, indocile mais pas que ... Mon indépendance, ma perspicacité, mon amour de la vie ont su maintes fois m'épargner la rudesse des moeurs pratiquées en ces temps ...

    Maggie O'Farrell tend son crayon comme une baguette magique pour me rendre vie 

    et quelle vie en effet !

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  • Une purée de pois avait envahi la zone, qui aurait pu freiner mes ardeurs, mais que nenni, seule (lui étant encore en convalescence) j'allais au devant, perçant le voile, vers l'océan ...qui lui reculait en basse marée !

    MALGRE LE BROUILLARD !

    MALGRE LE BROUILLARD !

    MALGRE LE BROUILLARD !

    MALGRE LE BROUILLARD !

    MALGRE LE BROUILLARD !

    MALGRE LE BROUILLARD !

     

    et puis chez lui, venir me réchauffer !

     

     

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  • NOUS DEUX !

     

    Le bonheur d'être ensemble !

    bon week-end 

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