Il n'y aura pas de réformes institutionnelles si les besoins des gens ne sont pas rencontrés ! C'est la menace légitime émise hier par le président du PS Elio Di Rupo, les socialistes ont accepté d'entrer dans ce gouvernement pour dépatouiller les problèmes institutionnels à la condition unique de s'occuper parallèlement de la vie chère, du pouvoir d'achat, des pensions, des revenus sociaux, c'était pas du bla-bla, cela fait deux mois et demi que le secrétaire d'état à la lutte contre la pauvreté Jean-Marc Delizée ½uvre en concertation avec les régions, les communautés, les CPAS, les réseaux associatifs pour déterminer au plus juste les besoins réels de la population . Le conseil des ministres doit aujourd'hui adopter le Plan Fédéral de la lutte contre la pauvreté consistant en une cinquantaine de mesures ... qui devront par après passer le cap du conclave budgétaire ! Qu'on ne nous disent plus que les sous manquent ...
Puisque les flamands ont émis l'idée du temps limité au 15 juillet pour régler les réformes relatives à la constitution, les Wallons exigent la parité sociale, à prendre ou à laisser, sans quoi les socialistes se retirent du gouvernement et tant pis pour la crise ...
Ouf, il était temps, même en travaillant, de plus en plus de gens n'y arrivent plus, les loyers, l'énergie, les denrées alimentaires, la santé, les déplacements, les taxes écologiques, le coût des poubelles, le prix de l'eau, les assurances, ..., tout a augmenté considérablement alors que les salaires progressent au rythme lent de l'index que nous avons la chance de posséder !
MERCI ELIO .
le deddin me plaît beaucoup, espérons que nous n'en arriverons pas jusque là!!!!!!!!!!!!!!!!
Grosses bises d'amitié en te souhaitant une bonne journée
marilou