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LE DROIT A L'EVASION ...
A .Dumas dans l'histoire de son Comte de Monte-Cristo, H. Charrière le célèbre papillon, y compris Napoléon quittant l'île d'Elbe, tous les résistants du monde entier à des politiques outrancières qu'ils contestent et qui pour ces raisons sont emprisonnés ... De tous temps, de tous bords, ces histoires ou ces éléments de l'Histoire, ont avivé en ma logique le droit à l'évasion ! L'injustice humaine qui ne le nions pas, se produit parfois, à inspiré la justice des pays libres et démocrates, qui ont inséré dans leur texte de lois ce droit inaliénable . Tout crime accompagnant ce fait quand il se produit, étant lui répréhensible, sera bien évidemment poursuivi ! Quand il s'agit de truands notoires, notre jugement envers cette justice aurait tendance à virer de bord, l'accusant de laxisme, nous réclamons plus de sécurité, plus de prisons solides, plus de matons à la poigne dure ... Les temps ont changé, de nos jours, il semble en effet que seuls seraient enfermés ou privés de liberté, les « méchants » . Ils y sont qu'ils y restent ! Assez de ces peines compressibles, installées en vue d'une réinsertion possible ! Chez nous, assimilant la notion qu'un clou tordu est foutu, il y aurait même une envie politique assez démagogue de laisser juger comme adultes des enfants de 14 ans qui auraient commis l'irréparable ! Prudence dans nos propos hâtifs, prenons le temps de la réflexion avant toute manifestation , ne nous joignons pas aux loups ... Il y a 48 heures, Nordin Benallal, pour la quatrième fois, s'est évadé de la plus sécurisée des prisons belges, avec quelques complices, un hélicoptère volé, un pilote et deux gardiens en otage, voitures empruntées . Il a été arrêté hier à La Haye, alors qu'il tentait de cambrioler un magasin de motos ... Tout est bien qui finit bien !
Tags : temps, bien, histoire, droit, politique
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Commentaires
oui le hibou, je suis entièrement d'accord ! seules des personnes compétentes peuvent analyser le comportement de ceux-là que la vie à conduit en délinquance ! Amitiés .3salaheddine bouchoukJeudi 1er Novembre 2007 à 13:31Comment lutter contre la criminalité est ce on construisant des prisons, en augmentant leffectifs des policiers. Non !
Rappelle toi Marie Claude, je tai dis que il faut redéfinir lhomme sur de nouvelles bases.
La valeur de lHomme je ne la vois plus dans sa force , ni dans sa raison. Non ,la valeur du genre humain est dans ses larmes,dans sa compréhension des souffrances des autres.
Ceci ne doit pas être intégré dans le cadre dun débat philosophique, mais plus que ça, il doit être élevé au niveau dune politique publique.
Par ailleurs,il faut remarquer que nos élites sintéressent aujourdhui à perfectionner les configurations des Etats,des sociétés ,des banques mais aucun ne sintéresse à la famille.
Celle-ci est bloquée éternellement à létat embryonnaire.
Il suffit de la réunion de deux voyous pour constituer une famille génératrice de problèmes.
Qui leur dit quils ne sont pas aptes au mariage, qui les conseille, qui les forme.
En fait, il faut être un philosophe pour éduquer un enfant.4dominique boudouSamedi 3 Novembre 2007 à 13:1314 ans ? Ce n'est rien comparé à l'INSERM qui veut dépister les carrières pré-délinquantes dès l'âge de 3 ans... Bientôt, qui sait, élimination des phoetus potentiellement suspects.à Salaheddine, comme tu l'écris, la mentalité primordiale de la société dans son ensemble, a toujours été inclinée vers le pouvoir de la force et celui de l'argent, induisant un mal être pour le peuple en général, l'intelligence humaniste voudrait faire basculer cet état de fait, nous y étions presque arrivés, mais ... les grands de ce monde veillent à leurs privilèges ... nous sommes plus nombreux, nous pourrions si nous le voulions tous ensemble tenter d'y parvenir, comme Ghandi l'a fait pour l'Inde il y a 60 ans . Pour cela, nul besoin de larmes, mais de la tolérance, le l'amour pour tous les hommes, des mains tendues, des sourires etc... et pour Dominique, pas de sélection prénatale, puisqu'on ne nait pas délinquant, on le devient ... Ils le savent !
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Ils pensent: Laissons libres uniquement ceux qui ne causent aucun désagrément à notre petite personne.
Lorsque protéger la société s'oppose à pardonner à ceux qui se sont perdus et les réabiliter, le choix ne peut être fait que cas par cas, par des personnes formées à cette tâche.