• L’ETAT, PROVIDENCE POUR L’HOMME ?

     

    Il ne faut plus se tromper, si létat providence aide encore lhomme quand dans sa vie il rencontre des états de faiblesse, lEtat ne doit plus en aucun L’ETAT, PROVIDENCE POUR L’HOMME  ?cas être la providence sur laquelle peuvent se reposer tous les hommes  

    Il nous faudrait à ce jour  faire marche arrière, cesser nos avancées, bloquer nos ressources de peur den manquer, arrêter le progrès,  tuer la providence des Etats !

    Car pour se protéger, certains Etats prônent avec élégance la mort des aides aux « tout venant » que nous sommes, ils auraient trop donné, nous aurions trop profité 

    Ils ont inventé, pour nous voir dépenser, des tas de facilités dont nous aurions usé et abusé, ignorants que nous sommes, des droits du capital  

    Noublions pas braves gens, pauvres de nous, que seul le capital produit en intérêts la manne nécessaire à nous faire vivre . Notre travail doit rapporter bien plus, nos heures ne sont plus à compter, notre âge ne peut être lexcuse de rentes imméritées,notre santé na quà bien se tenir, il nous faut être solidaire du capital, car il a des droits sur nos Etats

    Sans nous en apercevoir, nous avons laissé glisser nos Etats providences pour lhomme vers des Etats providences pour le capital  

    Et tout le monde accepte …

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  • Commentaires

    1
    Samedi 14 Janvier 2012 à 17:05

    La solidarité, le partage des richesses, le bien-être sont des arguments électoraux.

    L'échelle sociale, la réussite personnelle, le pouvoir, sont les vrais enjeux.

    2
    giulio 1
    Samedi 14 Janvier 2012 à 17:56

    Je ne vois pas, mes amis, pourquoi les premiers devraient exclure les seconds. Le fait que les pseudo-socialistes ou sociaux-démocrates prêchent les premiers (comme les vrais socialistes) et pratiquent les seconds (comme les libéraux) risque effectivement de les envoyer dans le mur, c’est clair, face à l’impitoyable Daaallas libéral. 


     


    Mais solidarité, le juste partage des richesses, le bien-être tant individuel que collectif, la progression sociale et la réussite personnelle, doivent quand même pouvoir être mis au diapason. On peut aimer outrui sans s’oublier soi-même, non ? Je crains que de nos jours, nos politiques ne manquent d’imagination. Combien d’expériences intéressantes au XIXème siècle : Fourier, Owen, St. Simon et bien d’autres… + quelques-unes au XXème : F.D.Roosevelt, Keynes, Galbraith… Bon, elles ont toutes échoué ou ont été mises de côté ; est-ce une raison pour cesser d’y réfléchir ?


     


     

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    3
    claudeleloire Profil de claudeleloire
    Dimanche 15 Janvier 2012 à 07:57

    'L'échelle sociale, la réussite personnelle, le pouvoir "

    sont des enjeux de politiciens, aujourd'hui ils sont tellement nombreux qu'ils étouffent les politiques ...

    C'est à nous électeurs qu'il appartient de faire la différence quand la parole nous est donnée, à nous aussi de vouloir comprendre comment fonctionne le monde pour remédier à ses faiblesses ... plutôt que de mépriser la politique  intéressons nous-y davantage car si tu ne vas pas à la politique, la politique viendra à toi ...

    toi et moi Genseric en avons conscience .

    4
    claudeleloire Profil de claudeleloire
    Dimanche 15 Janvier 2012 à 08:20

    Le libéralisme me plait Giulio quand il n'est pas ce "libéral" à tout crin qui aujourd'hui menace l'Europe dans son rapport à la finance, faisant payer aux peuples les extravagances qu'hier ils ont mis en chantier ... Je peux comprendre la liberté d'action qu'il permet aux hommes sans pour autant le soumettre aux "actions" financières spéculatives du devenir des Etats tuant toute imagination créative comme jadis le préconisaient ces penseurs dont tu parles, la solidarité, le partage des richesses n'excluent en rien la réussite personnelle, que du contraire cela contribue à la paix tout simplement, Roosevelt n'avait pas échoué ... mais cela n'a duré qu'un temps ...tant que le devenir de l'homme primait sur celui de la finance ... La providence à changé de bénéficiaire, attribuée aux hommes hier, elle est aujourd'hui destinée au capital ...

    J'ai aimé le coup de gueule de Magnette !

    amitié .

     

     

    5
    etsivousosiez
    Dimanche 15 Janvier 2012 à 12:07

    L'on a laissé croire  aux gens que l ebonheur se trouvait dans la satisfaction des plaisirs, relançant ainsi sans cesse l'économie et faisant des êtres des consommateurs... le père et prof que je suis voit très bien les ravages de cela, ce besoin perpétuel de satisfaire un... besoin, de calmer les angoisses existentielles par l'achat, le désir d'avoir... l'éphémère instant de satifaction...comment changer alors que la majeure partie de l'humanité ne connait et n'aspire qu'à cela?


    rien n'est simple et l'histoire en dehors des catastrophe ne connait pas de marche arrière, il nous faudra aller au bout du processus, du tobogan


    Merci d'être et d'espérer Claude Marie

    6
    claudeleloire Profil de claudeleloire
    Dimanche 15 Janvier 2012 à 13:57

    Tu me fais penser "etsivousosiez" à cette chanson de Souchon : "On nous fait croire que le bonheur c'est d'avoirde l'avoir plein nos armoires " alors que l'essentiel serait dans la réalisation, création de ce qui est en nos "avoirs" ...

    Mais je ne désespère pas, l'homme de la rue, dont je suis, saura se sortir de l'Histoire présente, portant son ingénérie à se réaliser,  il innovera des procédés collectifs nouveaux, comme dans ces sociétés en émergeance, qu'il nous faut regarder, qu'il nous faut considérer ... c'est ensemble que nous franchirons les frontières vers l'avenir  ... comme tu le dis, rien n'est simple en attendant glissons du tobogan ...

    amitié .

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