Je suis de gauche parce que pour moi le devenir de l'homme importe plus que tout le reste, je suis consciente du nécessaire de l'économie saine, sans cela pas de redistribution possible, que ce soit au niveau des communes, régions ou état . Pour moi, seule la gauche, à ce jour me propose un programme acceptable, malgré les « affaires », ce parti à toute ma confiance, j'apprécie l'intelligence des gens qui le dirige, et si parfois viscéralement, je suis en désaccord total avec des idées émises pour lesquelles je ne suis pas encore prête , après analyses, études et digestion, je me rallie toujours aux idées innovantes qu'ils ont mis en chantier, vivre en société n'a rien de facile, et cette difficulté ne peut pas être une entrave à l'évolution de celle-ci . Nous rêvons tous pourtant de nous laisser couler sur un long fleuve tranquille que serait la vie, le bonheur n'est pas à ce prix toujours il nous faut grandir dans la direction du bien être du plus grand nombre, là se concrétise l'humanité dans ses diversités, demandant de la tolérance certes, du temps, des moyens ..., nous conduisant dans cette ouverture d'esprit vers une puissance universelle où je vaux tout le monde et où tout le monde me vaut ! En Belgique, la complexité du débat se multiplie du fait de communautés différentes, de régions autonomes, ayant à vivre ensembles au sein d'un niveau fédéral ... Au nord, un nationalisme certain domine les débats . Au sud, une prise de conscience régionale n'en est qu'à sa genèse ... Bien malin celui qui aujourd'hui pourrait prétendre connaître la configuration de la Belgique au sortir des urnes le 10 juin ! Gageons que tout ira pour le mieux dans un pays uni soucieux de la solidarité des nantis envers les plus faibles ...
Ce fut une explosion de joie dans tous le pays. Nous avons très vite désenchanté.
Nos espoirs se sont effondrés. Le programme commun de la gauche n'a pas été appliqué ou si peu. Les politiciens nouveaux n'ont pas été plus honnêtes ni plus proches que les anciens.
Depuis nous ne percevons plus la différence entre partis. Nous ne croyons aucune promesse.
L'avenir de la France n'est pas dans sa politique.
Il est peut-être ailleurs.
C'est par ce que chacun accompli au quotidien (si modeste que ce soit) que notre pays change peu à peu.
P.S. Tu peux ajouter mon adresse blog à tes blogs préférés. Je ferai de même.
A bientöt.