vraiment aucune justice dans ce monde c est honteux
bonne soirée bisous

Cet assassinat est aussi crapuleux que celui d’André Cools, organisé par ses pairs.
Il ne faut pas oublier qu’elle fut deux fois Premier ministre de la République Islamique du Pakistan, de 1988 à 1990 et de 1993 à 1996. Mais chaque fois, elle fut démise de ses fonctions pour "corruption" et "mauvaise gouvernance".

Oulà, visiblement vous ne savez pas qui était Benazir Bhutto. Je résume :
1 - celle qui arma les Talibans dans l'espoir de réunir tout l'Afghanistan au sein du Pakistan (nom créé artificiellement : Penjab Afghanistan Kashmir BalouchISTAN)
2 - une corrompue comme son père, que sa propre soeur définie comme une femme autoritaire, dictatoriale et féodale
3 - celle qui fit assassiner son propre frère...

Elle se battait pour que le Pakistan devienne un état vassal réduit au rang d'esclave des USA... Depuis l'assassinat par le KGB du maréchal Zia, le Pakistan est totalement étêté.

Hommage à son extraordinaire courage.

Le Pakistan est un pays créé artificiellement en 1947 lors le l'indépendance de l'Inde, sa place géostratégique est autant convoitée par l'une et par l'autre des grandes puissances du moment, il n'empêche que le désir des Bhuttot était de donner à ce peuple une conscience de lui-même, d'exister à part entière dans une démocratie véritable un peu socialiste il est vrai ... Cela dérange tellement qu'il faut tuer pour empêcher l'avènement de ce qui est en marche inexorablement n'en déplaise à d'aucun ...

merci pour ton passage

MES MEILLEURS VOEUX POUR 2008 pour toi et ta famille

et bonne santé

bisous

"dans une démocratie véritable un peu socialiste il est vrai ... ce qui est en marche inexorablement "

Bhutto Corp. Ltd. népotisme et corruption
La présidence du Parti du Peuple Pakistanais (PPP), principal mouvement d’opposition au Pakistan est reprise par Bilawal Bhutto (19 ans) qui succède à sa mère. Asif Ali Zardari, l’époux de Mme Bhutto est nommé coprésident.

Asif Ali Zardari occupa diverses fonctions, dont celle de ministre… de l’Environnement dans un gouvernement présidé par sa femme. Mais, surtout, il fut rapidement affublé du surnom de « M. 10 % », que lui valurent plusieurs affaires nébuleuses de chantage et de corruption. Ces affaires le menèrent deux fois en prison (onze ans au total), mais dans un régime carcéral que l’on dit pour le moins favorisé.

L’enquête de corruption contre Bhutto close
L’enquête ouverte en Suisse contre l’opposante pakistanaise Benazir Bhutto pour soupçons de blanchiment d’argent est désormais close. L’ancien Premier ministre a été inhumée ce vendredi dans le mausolée familial dans le sud du Pakistan. Al-Qaïda serait derrière cet attentat.

Une enquête parallèle contre son mari se poursuit néanmoins. Depuis 2004, une procédure est enclenchée en Suisse après une demande d’entraide judiciaire d’Islamabad visant l’ancien Premier ministre pakistanais, son mari et d’autres personnes soupçonnées d’avoir placé en Suisse de l’argent provenant de la corruption.
Benazir Bhutto, assassinée jeudi, avait démenti ces accusations. Fin octobre, le procureur général du canton de Genève, Daniel Zappelli, avait déclaré que l’enquête du juge d’instruction était terminée. Il s’agissait alors de décider s’il y aurait poursuite ou si la procédure devait être abandonnée.
L’avocat à Genève de Benazir Bhutto, Alec Reymond, a précisé vendredi que « l’affaire était close, la mort de la suspecte éteignant toutes les procédures ». Il a toutefois précisé que la procédure suivait son cours contre son mari, Asif Ali Zardari, et une autre personne, dont il a refusé de dévoiler l’identité.
Le couple a été condamné par contumace pour blanchiment d’argent en juillet 2003 à Genève. Il a écopé d’une peine de six mois de prison avec sursis et d’une amende 9,1 millions d’euros à verser au gouvernement pakistanais.

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