•  

     

    LE RÊVE …

    Il est permis d’imaginer un monde sans frontières, où voyageraient les hommes au gré de leurs passions, sans nul souci des guerres qui auraient cessé d’être, depuis la disparition des pouvoirs de l’argent, des dieux et des régnants … cueillant sa vie aux sourires des bonnes fortunes du climat apaisé sous un ciel bleu azur, nettoyé des orages, des tornades, des nuages …

    LE RÊVE …

    La réalité est tout autre qui de nos jours s’enfonce sous les nuages bas des horreurs  de nos peurs …

    La peur du manque, due au fait de récessions, nous, qu’on avait initié à tant, à trop de consommation, nous voilà contraints aux limites de l’envie …

    La peur de l’autre, de celui qui pourrait venir partager notre espace de paix fuyant la peste de leur lieu de naissance que notre civilisation a fait naître …

    La peur des attentats, des agressions, des vols, des viols, des crimes …qui n’ont cessé d’être depuis la nuit des temps, et qu’on nous ferait croire plus courants aujourd’hui qu’hier …

    Toutes les peurs sont à prendre avec des pincettes, elles ne servent qu’à mieux nous asservir, à mieux nous diriger …

    Soyons lucides, cessons le repli sur soi, vivons en harmonie le temps qui est nôtre, sans rajouter des nuages au ciel tellement encombré déjà qu’il pourrait nous étouffer ! 

    Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    22 commentaires
  •  

    J’appréhendais un peu le regard des petits enfants sur ce vide annoncé  LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !par la coupe des arbres … Aussi en rangeant le tout je pensais à aménager des restes impossibles à récupérer, en espace de jeux … car malgré tout son sérieux, la vie n’est qu’un jeu,  où chaque individu a son rôle à tenir …

    Ce fut un boulot immense que de déblayer ces tonnes de branches qui gisaient tout en longueur sur ce sol qu’elles avaient surplombé une quarantaine d’années, ce fut une joie d’offrir au voisin des tas de bûches pour alimenter son foyer, ce fut le bonheur de retrouver mon corps si fort encore à savoir se surpasser dans des tâches extraordinaires, ce fut une joie pour moi de voir mon Philippe s’adonner avec plaisir à tout ce chambardement !

    Et vint mercredi où les petits allaient découvrir le nouvel espace tout modifié de leur zone de jeux …

    C’est la joie de vivre qui l’a emporté car …

     

    LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT ! 

     LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !

     LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !

     LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !

     LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !

     LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !

     LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !

     LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !

     LA MORT D’UN ARBRE, C’EST PAS LA FIN D’UN TOUT !

    Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    20 commentaires
  • Toi, mon beau cerisier qui ombrait mon repos aux heures chaudes de DEMAIN, TU NE SERAS PLUS …l’été, sous lequel les enfants ont joué, te faisant la limite à ne pas dépasser lorsqu’au foot on s’adonnait, toi qui si beau au printemps fleurissant fut pris en photo si souvent …

     

    Demain, tu ne seras plus !

     

    Tes racines profondes ont pris surface dans la propriété des voisins, menaçant l’équilibre  de leurs biens, et si je pouvais limiter ta ramure en hauteur, il m’est impossible de lutter contre tes profondeurs envahissantes …

     

    C’en est donc décidé, demain tu seras coupé, ainsi que ton frère qui DEMAIN, TU NE SERAS PLUS …vacille aux limites du jardin au point de plonger la tête … si bas, que pour cueillir tes fruits, on n’avait qu’à tendre le bras …

    La nature est ainsi faite qui tente à tout envahir … que l’on doit maîtriser sans faillir, pour garder l’équilibre sain d’un jardin qui le vaut bien !

    DEMAIN, TU NE SERAS PLUS …

    DEMAIN, TU NE SERAS PLUS …

    DEMAIN, TU NE SERAS PLUS …

    DEMAIN, TU NE SERAS PLUS …

    DEMAIN, TU NE SERAS PLUS …

    DEMAIN, TU NE SERAS PLUS …

    Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    24 commentaires
  • Le vent se lève, là quelque part dans la plaineTEMPÊTE

     

    Il longe les maisons et s’engouffre dans les rues

    Nettoie sur son passage tout ce qui traîne

    Violence, destruction, sans aucune retenue

    Mère nature humaine se déchaîne !

    Vient la pluie qui s’abat telle une mitraille

    Venant faucher dans pareille bataille

    Le reste de nos illusions qui au hasard de nos rêves

    Tentaient avec courage d’imposer une trêve …

    Ainsi vont les civilisations !

    Aux périodes de paix succèdent les révolutions

    Qui donc sur terre pourra ramener la moisson ?

    L’Histoire nous dit qu’il faut passer le cap

    Qu’un jour viendra, …

    Où la paix règnera …

    Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    18 commentaires
  • Longeant la rivière de la vie, j’ai emprunté le sentier des libertés, allant A VAU L’EAU ... aux vents venant , désormais à contre courant …

    Moi, la croqueuse de viande, qui s’enveloppe volontiers dans la douceur de la chaleur des peaux de bêtes  je deviens hors la loi de cet ordre publique fait de morale nouvelle et d’éthique répressive tendant vers la pensée unique de bon aloi !

     

    Moi, la femme de 65 ans, qui tolère encore et toujours la galanterie entre les sexes partant d’un marivaudage de bon ton, qui depuis la nuit des temps a permis aux couples d’entrer en relation, je me ferais mettre à l’’index  d’une société hyper féministe qui au nom de sa reconnaissance, bien légitime, pourchasse jusque dans les textes son droit à l’existence …

     

     J’ai beau devenir vieille, je me sens si jeune encore dans mon combat d’antan qui voulait de la femme faire une merveille, capable de s’assumer en tant que telle, prouvant par sa valeur son égalité méprisée, sachant dire NON quand il se doit, mais tolérante toujours de son alter-égo qu’est l’homme avec qui Elle fait bon ménage pour l’avenir de l’humanité .

    J’ai mal à cette société qui part à vau l’eau …

    Et je dis à qui veut l’entendre, qu’à choisir entre ce temps des interdits et des dénonciations excessives, je préfère mon temps d’antan qui tolérait jusqu’à en sourire   les engeances maladroites d’un monde viril qui se croyait à tort sexuellement supérieur !

     

    Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    32 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires