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À lire l’article paru dans « 7 sur 7 »
Nous en sommes tous convaincus, qu’il en est qui en soutien des djihadistes ont pu, ont dû le faire … En sommes-nous sûrs ?
Dans un état de Droit, on ne peut accuser sans preuve, faut-il pour autant ignorer ou faire semblant d’ignorer (sous prétexte de bonne pensance) qu’un mal certain existe qui caracole en sourdine dans certains milieux pas encore connus de nos services d’ordre … et qui sont source de danger …
Jan Jambon est notre ministre de l’intérieur, il a donc en charge cet épineux problème du radicalisme avéré puisque passé aux actes, il est responsable de ces hommes de l’ordre qui protègent et nous-mêmes et nos rues, il est sans cesse renseigné par le service des renseignements des menaces qui grondent, sa tâche est loin d’être facile …
Pourtant il a provoqué par ses propos un tollé quasi général !
Faut dire que ce ministre vient d’une famille politique dite de Droite qui flirte souvent avec l’extrême, faut dire que ce ministre n’en est pas à sa première bévue, faut dire même, qu’il les collectionne …
Faut dire que son parti est séparatiste, qu’au grand jamais il n’aurait dû être dans un gouvernement fédéral en charge du pays, qu’au grand jamais on n’aurait dû lui attribuer cette si difficile tâche qu’est son ministère, faut dire que le coupable est celui qui laisse le ver se nourrir du fruit …
Il paraît donc logique que tout un peuple qui se veut unitaire dans la tourmente, lui reproche des propos (que je considère sensés) en lui rendant la monnaie de sa pièce qu’est la méfiance du profit qu’il pourrait prendre dans cette situation de souffrance qui est la nôtre, suite à ces attentats …
Faut dire que nous craignons qu’en surplus du terrorisme islamique nous redoutons une guerre intestine qui couve au cœur même de notre politique depuis si longtemps …
Faut dire qu’à chercher des coupables, on en trouve, faut dire qu’en tout cela il faut raison garder, faut dire qu’il est bien difficile de bien penser !
GOUVERNER n’est pas chose aisée !
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Adelmo et Hélène Luchini peuvent être fiers de leur rejeton, Fabrice vient d’avoir 13 ans, il obtient son certificat d’étude, sa mère qui un matin avait ouvert « France Soir » lui prend rendez-vous Avenue Matignon, un salon de coiffure aux bonnes références demandait travailleurs, et il fallait emprunter pour s’y rendre la ligne de bus 80 !
Il aurait pu tourner à gauche ce bus et s’enfoncer vers la Goutte d’Or, « pas encore la misère, mais on y arrive très vite à la misère et sans s’en rendre compte » … Il a tourné à droite et ça a débuté comme cela …
La rencontre de gens qui connaissent le « mot », mots mis en phrases qui chantent et font danser la vie, ça a débuté comme cela …
Une comédie à la française, que la vie de Fabrice, lui , le parti de rien, beau gosse (je le devine) attendrissant au regard émerveillé de désirs dans ce faste milieu, lui, Fabrice s’enferme dans les textes d’auteurs, les faisant vivre et revivre pour en vivre, de l’amour du mot vient le sens du mot, qu’il fait jaillir avec la voix qu’on lui connaît, (faut le voir sur scène !) le livre à la main, le texte en mémoire, la bouche qui raconte mot à mot l’écrit de l’auteur …
De sa plume, c’est pareil, ce sont ses textes choisis qui émanent, c’est bien peu qu’il nous parle de lui, mais au-travers du texte des autres, c’est lui que je lis comme quand je l’entends …
Ça a débuté comme ça …
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Principes d’athéisme social émanant d’une autobiographie politique …
Rien que la page de couverture nous emmène au cœur de ce monde qui bascule, qui engendre l’incertitude, qui produit de la haine, du mépris, du malheur et des morts !
La démocratie aurait-elle vécu ?
Chaque âge de l’histoire a ses ratés, les guerres et les révoltes en sont les preuves les plus évidentes mais pas que … Il est des choix démocratiques qui se proposent comme cette petite pièce en bois ciré couvert d’un semis de petites glaces sensées attirer les alouettes, qui ont fait émerger des tendances politiques et ont séduit les masses au point de les capturer, incapables de se soustraire à l’étrange attirance fascinante du désir et qui finit par nous rendre prisonniers d’une même politique où seul le pouvoir du plus fort s’exerce .
Nous en serions là …
Debout la nuit et dans la rue à contester du plus jeune aux plus vieux ce monde où « l’argent fait la loi partout dans la cité, l’accession ou le maintien au pouvoir font la loi en politique »
M. Onfray nous rappelle tous les moments forts politiques de son temps de vie( qui correspond à un peu moins que le mien) et dont j’ai moi aussi le souvenir car la France a toujours attiré le peuple Wallon de Belgique … Je puis donc prendre pour miens tous les événements qu’il nous rappelle et accepter son analyse dont la thèse dont je m’approprie serait que nous serions dans un moment charnière entre la mort de la démocratie telle que nous l’avons vécue et l’émergence d’un renouveau dont nous aurions à jeter les bases …
L’Utopie fait bouger les normes, et quant à rêver, osons le plus fort et tentons de la réaliser …
Lui préconise une certaine anarchie dite sociale, pourquoi pas ?
Mais quid des hommes et de leurs penchants ?
Comme l’a été la démocratie tantôt bonne, tantôt tirant vers le pire, il se devrait dans les premiers temps du moins que les peuples reprennent les guides de la société et contribuent à rectifier le sens du vivre ensemble en cassant ce miroir aux alouettes …
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Je l’attendais depuis longtemps ce livre du philosophe athée concernant le coran, écrit par Mahomet le prophète sous la dictée d’Allah par l’intermédiaire de l’ange Gabriel, Djibril en 610 sur le mont Hira…dixit les croyants .
Il a tout lu Michel, (ce qui ne me dispense pas d’en faire autant, mais … pas l’envie du tout !) comme à son habitude, il relie l’Histoire des historiens et la naissance de la légende afin de nous donner à penser le sens des religions et de celle-ci en particulier .
Le Coran n’est pas qu’un livre de paix, mais il est évident que certaines sourates sont des tenants du bien à répandre autour de soi mais que conjointement dans le même livre sont répandus les appels au crime … comme dans toutes les religions et monothéistes et du « livre » … L’Islam étant la plus jeune d’entre les trois, nous fait assurément sa « crise d’adolescence » qui peut durer longtemps comme celle vécue au Moyen-Âge sous prétexte de Bible, d’Evangiles et de Torah …
Toutes les religions aiment le pouvoir, aiment s’étendre au royaume des hommes, leur envahir le cœur, semer par le bien et le mal la peur du présent en quête d’avenir post-mortel, les deux tendances pour se faire sont donc nécessaires et forcément utiles à la survie des religions quelles qu’elles soient !
Penser est nécessaire pour le long chemin de l’Histoire des Hommes …
Agir est indispensable pour le court terme !
Même s’il est évident que demain prend sa source aujourd’hui, la question reste de savoir comment lutter par la pensée contre le fanatisme ?
Je n’ai pas de réponse, je sais seulement que je ne tendrai pas la joue gauche pour encore recevoir un soufflet …
Je ne crois en aucun dieux, mais les religions sont bel et bien là !
Faut-il encore attendre des siècles pour qu’advienne le temps des HOMMES ?
Penser est-il suffisant ?
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