• Après moi, le déluge aurait dit le roi soleil, astre parmi sa cour, digne parmi les dignes, et qui malgré le temps est resté en nos mémoires pour les soins quil avait su conférer aux arts de son temps   Cest quen son temps le faste régnait, le gars navait pas peur de dépenser largent quil ne possédait pas !

    LA DETTE DES ETATS …

    A entendre nos dirigeants, nous serions occupés à dépenser les sous de nos enfants, quid des pensions, des soins de santé, des allocations sociales, de la culture, de léducation, les états sont à sec, les bourses sont vides, nous ne produisons pas assez et bien trop cher, ce que de toute façon nous ne pouvons plus acheter, faute de moyens  

    Nous payons pourtant à ce jour les dettes empruntées hier depuis que le système a cessé de sautofinancer, le choix politique la voulu pour offrir la part grande aux marchés, nous voyons ce quil en est largent nest quune convention même pas un contrat, celui qui en joue peut tout perdre  

    Ou bien nous continuons sur la lancée, nos enfants paieront nos dettes, et les leurs celles à venir ou bien nous faisons tourner la machine à billets, inondant davoirs les caisses des états,  enfin prêtes à soutenir la vie, un rythme de vie décent pour chacun dentre nous, jeunes ou vieux  

    Ce n’est qu’un choix politique, ne nous laissons pas prendre au piège des peurs qu’ils veulent nous insuffler pour mieux nous « mal mener » ! 

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  • Je regardais Aznavour sur France deux, jentendais la Chanson

     NOSTALGIE ?

    Française, tous ces auteurs, toutes ces musiques, tous ces mots qui nous parlaient de nous, de nos régions, de nos rythmes, de nos accents, de notre essence et jétais bien .

    Si bien, quen voyant défiler la montagne de Jean Ferrat, le sens « dêtre né quelque part », prenait tout son sens, celui de nos racines quen me laissant bercer par la voix de Zaz, je dansais parisienne quen métourdissant de la poésie de tous ces textes que des paroliers ont soumis aux compositeurs pour en faire notre affaire, jen venais à comprendre tout le bien de savoir doù lon vient .

    Ainsi dans ce monde qui tend à luniversel, nous navons pas à renier nos sources, et si je suis toujours convaincue du besoin délargir nos frontières pour aller vers un monde plus humain qui se généralise, nous devons savoir garder en nous la puissance du terroir qui nous a construit, qui nous a grandi .

    Il en est de même en littérature, japprécie le classique des mots doù que soient leurs auteurs, qui me parle de lhumain qui ne peut se construire quen se penchant sur son for intérieur, « cest en soi, quon découvre le soleil du levant »(Confusius).

    Je voudrais qu’il en soit pareil en politique, il me semble que le monde irait mieux si nos dirigeants s’affairaient un peu moins de l’équilibre financier pour s’attacher un peu plus aux racines des peuples, respectant la mesure du tempo que de tous les temps, la musique et les mots ont engendré pour nous conter les Hommes ! 

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  • Din tout les villes de Wallonie, on danse, on chante et lon boué  

    Passe que cest des bia djous, des djous dfiesse ! BONN FIESSE A TER TOUS, AMIS WALLONS !

    Nallez pas penser pour autant que nous réclamions notre indépendance, nous voulons juste exister pour vivre heureux, sur cette terre riche de son passé, ayant à ajuster son présent en guise davenir  

    La Belgique, que nous avons porté sur les fonts baptismaux a bien changé, son adolescence fut troublée par des faits communautaires qui ont laissé des chancres en nos villes, que notre âge adulte aujourdhui doit aménager pour lespoir de notre jeunesse !

    Car le politique nous en donne désormais les moyens, le centre de gravité de la Belgique repose sur ses Régions, leurs décisions feront la différence !

    Gauche et centre-gauche, PS et CDH sunissent à cet effet pour poser les jalons dune société fière de ses attributs, tentant de régler avec humanisme les défis économiques qui surgissent dans la crise mondiale de la haute finance  

    La Wallonie est de gauche, sa philosophie généreuse ne laisse pas sur le quai les faibles, les moins nantis, les victimes de la droite De tous temps, ses luttes sociales ont veillé au bon grain dun équilibre sociétal, engrangeant si pas une égalité, une injustice moins lourde à porter par tous ceux que la vie na pas gâté .

    Honni soit qui mal y pense  

    Moi, je suis fière d’être wallonne ! Bonne fête à tous ! 

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  • Il me revient du passé tout ce que jai été,L’ESSENCE DE MA VIE !

    Une fille-garçon, qui posait ses jalons,

    Une demoiselle, un peu belle quaimaient les garçons,

    Une étudiante, tantôt sciences, toujours livres,

    Qui ne rêvait que dêtre libre !

    Une femme, une mère, une fille  

    Une vie bien remplie

    Et me voilà grand-mèreL’ESSENCE DE MA VIE !

    À jouir enfin de la vie,

    De leurs rires, de leurs joies, de leurs exploits, de les voir grandir  

    Tous les trois

    Me projettent dans lavenir

    Que je veux possible, digne, sans tabous et libre  

    Quils puissent être

    Ce verbe être

    Sans condition, ni subjonctif  

    Pour jouir comme moi je l’ai pu, de leur vie ! L’ESSENCE DE MA VIE !

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  • Comment réagir au-devant du courant des idées nauséeuses qui ALORS, LA GUERRE ?conduisent aux atrocités ?

    Durant les années trente du siècle dernier, le fascisme sinstallait en douceur, profitant de la démocratie pour senraciner dans une société malade de ses injustices sociales, le mal être des hommes induit ces acceptations de loutrance comme une réponse possible aux maux ressentis  

    Durant cinq ans, les forces vives de tous ceux qui rêvaient de dignité, se sont unies pour faire la guerre au « crime » contre lhumanité !

    Aujourdhui, lHistoire nous repasse ses plats, sous une autre représentation, un mal dit religieux (qui nen est pas un) qui serait plutôt linconstance entre « tribus », frères ennemis rêvant dun pouvoir à prendre, frères sachant la puissance de lignorance, jonglant avec les souffrances sociales pour créer la discorde, saliénant aux idées que les dieux sont une arme contre laquelle peu de politiques peuvent rivaliser  

    La question me tarabuste, faut-il partir en guerre ?

    Je pense que OUI, que serait devenu notre monde d’humains si en « quarante » le fascisme l’avait emporté ?  

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