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LE TEMPS DE L’ATTENTE …
Sur le fil des jours
Se laisser porter …
Attendre
Que revienne le soleil
Notre horizon réchauffer,
Que la santé reprenne
Le chemin du foyer,
Attendre …
Des jours meilleurs
Où reviendra
Le temps d’entreprendre !
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Qu’on les approuve ou non, elles sont !
Venu de l’Est, ce mouvement gagne tous les lieux de la terre où règne la bêtise, chaque région ayant la sienne, là-bas la religion qui inhibe les libertés, plus près l’homophobie qui crée les injustices, ici et partout une envie conservatrice de conditionner les femmes à un rôle dont elles ne veulent plus …
Se servant des attributs de leur féminité, elles vont les seins nus porteurs de message porter le flambeau d’un féminisme nouveau !
Il est facile chez nous de se dévoiler la poitrine, nos plages en été le prouvent mais en Tunisie les femmes indigènes qui osent encourent bien des risques …
Pourtant dans nos écoles mixtes, les gamines se sentent plus à l’aise dans un pantalon que dans une jupe, ayant à supporter dès leur plus jeune âge des regards insidieux qui en disent long sur des mentalités qui régressent …
Se servir de ses seins pour contrarier le monde, montrer à tout passant qu’une poitrine qui s’ose peut en faire plus que des armes meurtrières, accepter sa féminité, la montrer pour que le monde change, voilà un principe auquel j’adhère, quand des femmes voilées subissent la loi des hommes il faut vouloir oser le torse nu, n’en déplaise à quiconque qui des seins ne veulent voir en raison de la bêtise du monde …
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Les jeunes de mon temps, et de ceux qui le précédaient avaient un rêve américain, c’était celui des libertés offertes par une nation accueillante qui laissait à chacun une place pour tenter de réussir sa vie dans la vie … Céline en été revenu de cette ville debout pour retrouver sa campagne et écrire ses textes à nous faire réfléchir …
Aujourd’hui deux jeunes venus de Tchétchénie, accueillis par la grande nation leur offrant les droits de citoyens américains ont fait sauter des bombes pour tuer, pour blesser, pour faire mal à ceux qui les avaient adoptés …
Des jeunes de chez nous s’embrigadent aux idées de mort et s’en vont à la guerre finir une vie à peine commencée …
Il n’y a plus de rêve américain, pour nos jeunes il semble n’y avoir plus de rêve du tout !
Qui pourrait m’expliquer pourquoi nos nations prospères malgré la crise, oublient de donner l’espoir nécessaire aux jeunes pour tenter de réussir leur vie dans la vie ?
Il n’est pas normal que la mort soit leur seul espoir dans la vie, nos politiques tournées à ce point vers l’austérité sont les seules responsables du chaos dans lequel elles nous plongent, quand cela va-t-il cesser ?
A nous faire croire que sans austérité nous plongerons nos enfants dans des dettes effroyables demain … c’est aujourd’hui qu’on assassine nos adolescents !
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Brillait de mille feux au ciel d’hier,
Des lustres qu’elle avait disparu …
Je la savais par-dessus les nuages
Mais ne la voyant plus
Je me tournais vers la terre
Puiser des forces pour le reste du voyage …
Un brin de lumière
Dans un firmament noir
Succédant au soleil fier
Chauffant dans le bleu ciel
D’une journée ensoleillée
Et l’avenir s’ouvre à nouveau
Aux joies de la vie !
Il en faut peu pour être heureux !
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Que je n’avais plus pris le volant,
Philippe étant souffrant, lui le chauffeur attitré, qui en aucun cas par moi ne veut se voir mener, il me fallait dépendre de la générosité des fils, du voisin, c’était bien gênant …
Je me sens trop jeune pour être à ce point dépendante, et seule je n’osais me lancer à sortir du garage la voiture immobilisée par manque de chauffeur …
Genseric, mon fils cadet, accepta sans faillir d’être le moniteur instructeur d’une confiance en moi à retrouver …
Et nous partîmes tourner dans Péronnes, à la découverte des ronds-points des casses vitesse, des zones 30, toutes choses qui n’existaient pas il y a 22 ans …
Ce ne fut pas un problème, la seule difficulté rencontrée vient de la voiture, c’est qu’elles aussi ont changé en un quart de siècle, elles sont devenues sensibles au toucher, répondant avec une rapidité déconcertante aux moindres injonctions …
Pas de coups de freins intempestifs, pas de tours de volant outranciers, tout doit se passer en douceur, sous peine de décoller du tarmac …
Et je m’en suis bien tirée …
La confiance en moi me revient, seule je pourrai aller faire des courses si nécessaire, mais Philippe n’acceptera jamais par moi de se faire voiturer …
Sauf peut-être en cas d’urgence …
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